Attaque du chant pied droit après 1.2.3
Tonalité : Mi bémol majeur (Eb major)
Note de départ : Si bémol (Bb)
Syllabes en gras = pied gauche
Cadence : 96 à 104 pas/mn
- En avant, par-(1)-courant le monde, 2.1.2
Adieu, 2 adieu, adieu,
Le ciel est bleu, (1) le soleil brille, 2.1.2
Adieu, 2 adieu, adieu,
[ Mon cœur est las ( Mon cœur est las)
De tant souffrir (De tant souffrir) 2
Pour ou– (1) -blier il faut partir 2.1.2.1 ] (bis) - Ô belle ville, ô toi que j’aime, 2.1.2
Adieu, 2 adieu, adieu,
Ô vieux beffroi, (1) clocher fidèle, 2.1.2
Adieu, 2 adieu, adieu,
[ Adieu, maison (adieu maison)
Chère à mon cœur, (chère à mon cœur), 2
Où j’ai (1) connu le vrai bonheur, 2.1.2.1 ] (bis)=
- Ô toi, qui fus (1) toute ma vie, 2.1.2
Adieu, 2 adieu, adieu,
Faut-il donc te (1) quitter, ma mie ? 2.1.2
Sans un adieu, 2 adieu, adieu,.
[ Ah ! tu regret– (Ah ! tu regret-)
-teras un jour (-teras un jour) 2
D’avoir (1) dédaigné mon amour, 2.1.2.1 ] (bis)
Historique :
Il existe deux mélodies pour ce chant. La plus ancienne est publiée en 1938 dans le recueil des Auberges de jeunesse, La clé des champs. avec la mention « chanson du folklore allemand », sans plus de précision. C’est la version des mouvements de jeunesse et celle qui est la plus prisée dans l’armée jusque dans les années 1960. En 1950, des légionnaires du 1er REI enregistrent la mélodie scoute (78 tours, Képi blanc, LE11). En 1960, les paras du 2e BPC opèrent un changement en adoptant une mélodie bavaroise, I bin der Bua vom Loisachtal ou Donautal, Isartal, Aubachtal (je suis le garçon de…) pour le 45 tours Chants et musiques des paras (Président, KVP 178) . Toutefois si les paras préfèrent cette dernière, les deux mélodies cohabitent dans l’armée.