A propos de la victoire de la France – point de vue.
Une vision positive, celle du général Roudeillac :
Panem et circenses
Les mondialistes et autres promoteurs d’une Europe supranationale doivent s’interroger ce matin au spectacle de la ferveur nationale, consécutive à la victoire de l’équipe de football française.
Que constatent-ils en effet ?
Que le Peuple s’enthousiasme et fait parler sa fierté lorsqu’il peut s’identifier aux héros du moment et lorsque les invités au repas national ne “crachent pas dans la soupe”. Le succès de l’équipe nationale de football confirme également que les nations demeurent et que pour être fortes il y faut cultiver la fierté, la volonté de vaincre.
Ce peuple, si décrié par une intelligentsia hors sol, ce peuple, étranger aux préceptes de ceux dont les propos abolissent les frontières, ridiculisent le chantre des valeurs nationales et pensent que les nations véhiculent la guerre, ce peuple, par sa joie, démontre que sa fierté résulte des exploits de ceux dont ils sont proches par la langue, une histoire ( ici celle du football), et la fidélité à une culture commune concrétisée ici par un sport collectif, l’hymne national et le drapeau français..
Mais plus encore hier, il a été prouvé, par l’attitude digne de ceux qui ont choisi de faire gagner la France, que la seule condition pour que le “vivre ensemble” soit une réalité, tient à leur volonté de montrer leur fierté de se sentir français et de participer au succès du pays qui les a accueillis.
Que leur exemple serve à indiquer la voie à ceux qui croient pouvoir durablement prendre part au “festin national”, sans dire qu’ils apprécient.
Il leur faut faire valoir qu’ils sont fiers d’être Français et qu’ils se reconnaissent, au-delà du football, dans ce qui constitue l’Histoire et le génie du peuple qu’ils ont choisi.